Le GNTCI organise des ateliers de formation à l’endroit des partenaires régionaux du projet pour améliorer leurs connaissances sur l’observation indépendante des forêts.

 
 

Dans le soucis d’atteindre l’un de ses objectifs majeurs, celui de la participation effective des Acteurs Non Étatiques ivoiriens à la bonne gouvernance forestière et à la gestion durable des forêts, le GNTCI (Groupe National de Travail pour la gestion durable des forêts et la certification forestière en Côte d’Ivoire) a organisé, du 06 au 07 juin 2018, deux ateliers de formation à l’endroit des partenaires régionaux du projet en vue d’améliorer leurs connaissances sur l’observation indépendante des forêts ivoiriennes. Ces ateliers s’inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre du projet ‘‘Renforcement des capacités des acteurs non étatiques à améliorer les processus APV-FLEGT et REDD+ en Afrique de l’Ouest’’ financé par l’Union européenne, avec la Coordination internationale de TROPENBOS International.

Ces ateliers qui se sont déroulés simultanément à la salle de conférence de la SODEFOR à Abengourou et à l’hôtel ENOTEL CITE de San Pedro, ont réuni plus d’une vingtaine de participants issus des ONGs, les PMEFs/TPMEFs, les communautés locales), dans chacun des sites susmentionnés ; ainsi que des représentants de l’administration forestière.

L’objectif de ces ateliers était de renforcer les connaissances et les capacités de la société civile , des petites et moyennes entreprises forestières (PMEFs) nationales sur la pratique de l’observation indépendante, un outil dont dispose la société civile pour surveiller la bonne application des dispositions légales en vigueur dans le domaine de l’exploitation forestière en Côte d’Ivoire.

Ainsi, les participants ont été formés sur les différentes étapes d’une mission d’observation indépendante qui passent par la recherche documentaire, la préparation avant le départ sur le terrain, la collecte d’information sur le terrain, le traitement des informations récoltées, la production de rapport d’OI et les activités après la publication du rapport.

Les organisations de la société civile ont par la suite été invitées à s’approprier résolument cet outil de bonne gouvernance.